3 bonnes raisons de rejoindre l’accélérateur

Prendre du temps et de la hauteur

Travailler un projet de développement demande de sortir des problèmes du quotidien pour regarder devant soi. Rejoindre l’accélérateur c’est dédier du temps à ces sujets stratégiques et être accompagné par des professionnel·les pour avancer efficacement.

« Les temps de travail en binôme sont précieux et difficiles à dégager quand on est dans l’opérationnel » confient Hilary Mckee gérante et Elisa Peterlin, co-gérante de Commun’île.

« J’ai trouvé au sein de l’accélérateur des encadrants professionnels qui m’ont permis de travailler sur la modélisation de l’essaimage de l’association. Accompagnements financiers, RH, mesure d’impact, gouvernance, ont été autant de sujets que nous avons pu traiter en profondeur tout en prenant de la hauteur » raconte Laurent Guilhaudin, directeur du Coup de Main Numérique.

Rejoindre un réseau de dirigeant·es de l’ESS

L’accélérateur, c’est aussi un réseau d’entraide avec des temps inspirants qui permettent de poser un regard différent sur ses pratiques en confrontant différentes expériences de développement, de pilotage ou de posture. Sans oublier, les marraines et parrains mobilisé·es pour suivre les dirigeant·es et les conseiller au plus près de leurs enjeux de développement.

« J’ai apprécié les témoignages des dirigeants extérieurs comme Gildas Maquaire, gérant de SCOPIC. Ce sont des temps inspirants qui nous permettent de nous projeter. La participation active et régulière d’un parrain ou d’une marraine, nous permet aussi de travailler en profondeur les sujets propres à nos activités et qui nous questionnent » note Laurent Guilhaudin, directeur du Coup de Main Numérique.

« Nous retenons aussi la construction d’un vrai groupe d’entraide et de co-construction avec les autres structures de la promo » ajoutent Hilary Mckee gérante et Elisa Peterlin, co-gérante de Commun’île.

S’outiller pour engager les chantiers nécessaires

L’accélérateur met à disposition des dirigeant·es les bons outils et les bonnes ressources. Cette année, les modules autour des RH et de la gouvernance ont été particulièrement utiles pour enclencher des étapes clés du développement.

« A l’issue du programme, nous avons une meilleure connaissance des conditions nécessaires au développement d’un projet mais aussi des enjeux de gouvernance et d’organisation interne » confie Cécile Christodoulou, co-directrice de PING.

« Cela nous a poussés à engager une réorganisation plus horizontale, correspondant plus aux attentes de l’équipe. Ces travaux ont permis un dialogue entre la gouvernance et l’équipe opérationnelle sur l’ensemble des éléments consignés dans un projet associatif adopté en Conseil d’administration en fin de parcours » explique Pierre-Yves Legrand, directeur de Novabuild